Le pouvoir des mots et une (toute petite) partie de mon univers

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Crocus, Trump et Bolsonaro
Poème
Slamer plutôt que slalomer
Humour
Fribourg et son trente à l'heure
Haïku
Liberté
Boire et manger
Le St-Saphorin
Annales
2022 : L’An caustique

Le pouvoir des mots 

J’aime les mots. J’aime leur pouvoir sans frontière, ouvrant tout grand les portes d’un pays de Cocagne, où l’imaginaire côtoie le réel, où la fiction l’emporte sur la réalité, où les heures semblent des minutes et les minutes, parfois, des heures.

Vous verrez rarement un mot s’engager dans un sens unique. Emprunter des chemins détournés, braver des sens interdits, c’est bien plus jouissif. Le mot, tel le caméléon, est capable de modifier sa couleur. Mots d’amour, mots d’humour, calembours, mots qui changent le monde, gros mot, grand mot, petit mot…

Dans mon univers, il y a foule. Derrière Raymond Devos, le jongleur de mots, campent Francis Cabrel, Georges Brassens, Grand Corps Malade, Fabrice Luchini, mais également Jean d’O, Joël Dicker, Amélie Nothomb, Katherine Pancol, Mélissa da Costa, Tatiana de Rosnay, Stephen King. Il y a, bien sûr, Michel Audiard, Pierre Desproges, ou, plus près de nous, Angélique Eggenschwiler, Nicolas Feuz, Marc Voltenauer.

Pour ne citer que ces quelques-un-e-s et passer comme chat sur braise sur l’héritage, que nous ont légué les classiques.


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